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Pourquoi consulter un psychologue?

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Vous vous sentez en difficulté face à un ou plusieurs événements de votre vie, plus ou moins dramatiques ou traumatisants, une maladie, un décès, une accumulation d’échecs, une rupture ;

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Vous ressentez un certain mal-être, vous craignez le regard des autres, vous évitez des situations et souffrez de ne pas les affronter, vous vivez une situation de violence au travail ou dans votre famille ;

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Vous souhaitez vous affirmer, rompre avec les comportements et schémas qui vous « collent » inextricablement ;

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Vous avez des conduites addictives, de dépendances, agressives, déviantes qui vous ou font souffrir votre entourage ;

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Vous n’arrivez plus à communiquer autrement qu’en étant agressif, ou vous ne pouvez pas soutenir un regard sans vous sentir faible ;

Toutes ces situations sont autant de raisons qui peuvent vous pousser à consulter un psychologue. Rencontrer un professionnel de l’écoute et de soutien est souvent la solution pour amorcer un changement.

Se décider à voir un psychologue n’est pas chose facile même si l’on consulte plus aisément qu’auparavant. Encore faut-il trouver un thérapeute avec qui vous vous sentez en pleine confiance. Le psychologue de votre ami(e), parent, de votre épicier n’est pas forcément celui qui vous correspond, même s’il a fait ses preuves auprès de vos connaissances. Une première rencontre est importante et un temps de consultation/rencontre préliminaire est nécessaire car la thérapie est basée sur la confiance, le respect, la bienveillance du thérapeute mais aussi sur vos sensations et vos ressentis face au thérapeute. Il/elle devra vous écouter, vous conseiller, vous éclairer, et si le « feeling » ne passe pas, la thérapie ne sera pas une thérapie.

Si vous voulez des informations sur le déroulement des séances, une première rencontre « pour voir », n’hésitez pas à me contacter pour en discuter.

 « Tout être est une île, au sens le plus réel du mot, et il ne peut construire un pont pour communiquer avec d’autres îles que s’il est prêt à être lui-même et s’il lui est permis de l’être ».

                                       Carl Rogers

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